Cette ferme en grandes cultures s'étend sur une surface de 200 hectares à Sallen dans le Calvados.

En 2023, elle s'est engagée dans un projet de réduction de son empreinte carbone.

L'objectif est de réduire et séquestrer 288 tCO2eq d'ici 5 ans. Pour cela, elle se focalise notamment sur l'augmentation de la biomasse restituée au sol après récolte, avec des indicateurs précis pour mesurer l'impact carbone et les co-bénéfices associés. 

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Cette ferme en grandes cultures s'étend sur une surface de 86 hectares à Nesle dans la Somme. En 2022, Etienne Peyre de Grolée, 34 ans, s'engage dans un projet de réduction de l'empreinte carbone de sa ferme. L'objectif est de réduire et séquestrer 240 tCO2eq d'ici 5 ans.

Pour cela, il met en places des mesures précises avec des objectifs chiffrés pour différents leviers parmi lesquels : diversification des cultures, couverts végétaux favorables aux insectes, augmentation de la quantité de biomasse restituée, apport de matières organiques sur le système de culture.

"Je valorise ainsi les effluents les plus proches de mon exploitation pour éviter les transports sur de long trajet (camions etc...) et j'apporte une part du besoin en azote en organique." explique Etienne, qui collabore avec une sucrerie et un voisin éleveur pour récuperer du fumier. 

Cette ferme en grandes cultures s'étend sur une surface de 39 hectares à Acquigny dans l'Eure en Normandie.

En 2023, elle s'est engagée dans un projet de réduction de son empreinte carbone.

L'objectif est de réduire et séquestrer 85 tonnes d'équivalent CO2 d'ici 5 ans. Pour cela, elle met en place plusieurs leviers, avec des mesures précises et des objectifs chiffrés, notamment l'augmentation de la quantité de biomasse restituée et l'utilisation de couverts végétaux.

Sylvain Dupuy, est chef de culture à l'EARL Despaignet dans les Landes.

Sur une surface de 350 hectares, il cultive principalement du maïs, du sorgho, soja et tournesol. Afin de favoriser la nutrition des plantes, Sylvain souhaite améliorer la qualité de son sol et notamment la dégradation des matières organiques.

Pour cela, il a intégré un programme dans lequel il teste un prébiotique des sols, c'est à dire une solution permettant la stimulation de bactéries bénéfiques naturellement présentes dans l'environnement local. Ce changement de pratique va permettre de stocker du carbone dans le sol.

Cette ferme en grandes cultures s'étend sur une surface de 110 hectares à Amilly. Le jeune agriculteur exploitant s'est engagé dans un  projet de réduction de son empreinte carbone dès 2022, en adaptant ses pratiques agricoles. Le Label Bas Carbone lui permet de pouvoir être soutenu dans ce changement.

Pour cela, il met en places des mesures précises avec des objectifs chiffrés pour les leviers suivants : réduction des engrais de synthèse, augmentation de la quantité de biomasse rapportée au sol, apport de matières organiques sur le système de culture, introduction de légumineuses dans la rotation.

Philippe est un agriculteur installé sur l’exploitation familiale depuis 1978 sur la commune de Saint-Aygulf dans le Var.

Les terres exploitées par Philippe s’étendent sur 25ha, sur lesquelles il cultive principalement du melon, mais aussi de l’artichaut et plus récemment de la grenade en reconversion biologique.

La mise en place de nouvelles pratiques agro-écologiques lui permet de booster la vie biologique du sol, de mieux dégrader la matière organique solides, d'améliorer la conversion de la biomasse en humus, d'améliorer la qualité et la structure du sol, de fournir des éléments nutritifs aux plantes.

Christophe Legrand est polyculteur en Seine-Maritime (76). Il a une problématique de sols argileux trop compacts, c'est pourquoi il a voulu tester l'application d'un prébiotique des sols pour rendre ses sols plus faciles à travailler et moins hydromorphes.

Avant 2020 l'exploitation était en polyculture-élevage de vaches laitières, depuis elle est en polyculture uniquement.

Antoine a 38 ans. En 2008, il a concrétisé son rêve d’enfant en s’installant comme agriculteur à Pleurtuit au cœur de la Communauté de Communes Côte d’Emeraude.

Antoine est producteur de lait, s’il reconnaît avoir toujours eu une attirance pour l’élevage laitier il n’en oublie pas moins LE SOL.Ce sol qui nourrit les animaux et les hommes. Cela fait déjà quelques années qu’Antoine préserve ce patrimoine par des pratiques agroécologiques.Il y a 8 ans, Antoine a entrepris de replanter des haies, il ne laboure quasi plus, il fait son maximum pour gagner en autonomie alimentaire.